Considérant que, par l’arrêté attaqué du 23 février 1993, le maire de Saint-Mard a rapporté un permis de construire qu’il avait accordé le 2 juin 1992 à la société SAB construction et a délivré à cette société un nouveau permis pour la construction de deux immeubles comprenant vingt-huit logements ; qu’il possédait avec son épouse, qui en était la gérante, la moitié des parts d’une entreprise de plomberie-sanitaire, constituée sous forme de société à responsabilité limitée, qui a participé à la construction litigieuse pour un montant de travaux représentant 17 % de son chiffre d’affaires annuel ;